Archive for the ‘– B 19 .- Magistrats pédophiles’ Category

2007 Magistrat pédophile « protégé »…

8 juillet 2009

Parce que l’enquête ne semblait pas avancer assez vite à leurs yeux, des parents ont décidé d’alerter la presse au sujet des agissements du magistrat de Chambéry Bernard CONSTANTIN.

C’est à la suite d’un écho non équivoque paru dans l’hebdomadaire local « Le Faucigny » qui décrivait de manière anonyme mais parfaitement identifiable son itinéraire professionnel que le magistrat se présentera d’ailleurs spontanément devant les gendarmes le 3 septembre … pour nier tous les faits qui lui étaient reprochés.

La justice enfin réveillée instruira alors l’affaire et le magistrat Bernard CONSTANTIN, violeur de 2 fillettes, finira par être sanctionné, en « catimini » toutefois, à 10 mois de prison avec sursis et mise anticipée à la retraite.

Dans le même temps l’abbé Bisset pour les mêmes faits a écopé de 18 années de prison fermes.

« Denidejustice »  le

Nous souhaitons en savoir plus :  le nom du juge d’instruction somnolent et celui du juge qui a prononcé  la sanction. Merci

*1997 Anonymat garanti pour magistrats pedophiles.

14 juin 2009

Le 28 juin 97 la PJ du Val de Marne a passé les pinces à un magistrat à la retraite, ancien président de chambre à la cour d’appel de Paris. Il avait été surpris dans les toilettes de la piscine de Cachan après y avoir suivi un jeune garçon de 13 ans. Dans les WC, l’ancien président avait escaladé une cloison pour rejoindre le gamin et lui faire des propositions.

Les moniteurs de natation avaient repéré le manège du magistrat depuis plusieurs jours et ils sont intervenus. Interrogée par la police, son ex-épouse a confirmé qu’il avait de l’attirance pour les très jeunes garçons.

L’ancien magistrat  a été laissé en liberté. Et la PJ du Val-de-Marne a diffusé, comme d’habitude, un télégramme d’informations à toutes les directions de PJ. Mais pas dans les échelons inférieurs ni dans les commissariats.

Lors d’une opération lancée par la gendarmerie contre les acheteurs de cassettes pédophiles, on avait aussi remarqué l’absence de certaines catégories  professionnelles, dont celle des magistrats. Soixante et onze d’entre eux figurent pourtant sur la liste des clients !

Les officiers de gendarmerie et les commissaires de PJ se réservent ces « témoins » et les auditionnent en personne, pour éviter les fuites. Le télégramme de la PJ signalant le magistrat pris en flagrant délit à la piscine de Cachan portait d’ailleurs la mention: « Ne pas diffuser à la presse ». Il ne faut pas porter atteinte à la réputation de la magistrature …..

« Le Canard enchaîné »   n° 4004  du 23/07/97    article non signé.

Denidejustice souhaite connaître le nom du vieux vicieux mais aussi les noms des 71 autres tripoteurs de gamins et gamines … Aidez-nous ! Merci.


*2004 Affaire du juge Philippe Chenet (pédophilie).

13 juin 2009

Chapitre 1

Entre 1989 et 1992, le juge pour enfants à Tours  Philippe CHENET pratiquait d’étranges fouilles à corps décrites par des enfants, des collègues, des greffières … Soit disant pour trouver de la drogue ou des objets volés, en se déclarant « couvert par le code de procédure pénale »

« Comment pourrait-il vous convaincre qu’il croyait de telles pratiques autorisées  ? Que dire du processus mental qui le conduisait à un déshabillage partiel ou intégral de mineurs dans les locaux d’archives du tribunal ? » interroge le représentant de la chancellerie Patrice Davost.

Après un avertissement, Philippe CHENET se voit alors prié de demander sa mutation. Il est ainsi écarté des tribunaux pour enfants. Il devient vice-président du tribunal de grande instance d’Arras (Pas-de-Calais).

Mais , et c’est ahurissant, il continue d’exercer les fonctions de directeur de colonie de vacances !!!

Chapitre 2

En juillet 1994 dans une colonie qu’il dirige, des enfants se plaignent auprès de leur monitrice d’attouchements pendant une nuit. « C’était un homme » affirment-ils.  Elle rapporte les faits au magistrat-directeur qui curieusement se met en colère, traite les enfants de menteurs, déclare à la monitrice qu’il va signaler les faits mais il n’alerte finalement personne.

En mars 2003,  à la demande du garde des Sceaux, il est mis en examen « pour agression sexuelle sur mineurs par personne ayant autorité » et le 20 avril il comparaissait devant le Conseil supérieur de la magistrature.

La chancellerie avait demandé la révocation du magistrat. Le CSM s’y refuse. Le magistrat est toutefois suspendu de fonctions tout en percevant son salaire …. « en attendant le  résultat définitif de la procédure judiciaire ».

« Deni de justice »            Résumé d’après divers rapports de médias (CM)

2004 Pédophilie – Révocation requise contre un magistrat.

12 juin 2009

Le ministère de la justice a requis hier la révocation de Michel JOUBREL, substitut général près la cour d’appel de Versailles, pour son implication présumée dans un réseau de pédophilie sur Internet « compte tenu des faits et de leur totale incompatibilité avec la fonction de magistrat ».

Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) doit présenter sous huit jours sa proposition de sanction à l’encontre du magistrat.

« Le Figaro »   n°18615 du 12-13/06/04

**2007 Suspension puis mise en examen d’un substitut

11 juin 2009

Le 23 mai 2006 le Conseil supérieur de la magistrature donne un avis favorable à la suspension temporaire de Christian GOY, ex-substitut de Bayonne, récemment mis en examen à Bordeaux pour « viols sur mineure de moins de 15 ans par personne ayant autorité » au terme d’une enquête déclenchée par les plaintes de deux soeurs qui l’ont accusé d’abus sexuels pendant leur enfance à une époque où il exerçait comme avocat en Gironde. Il conseillait alors les parents des deux enfants. Les deux fillettes avaient alors 13 et 9 ans.

Il ne sera mis en examen que le 11 juillet 2007 et laissé en liberté sous contrôle judiciaire. (Le Figaro du 15/07/07)

Journal « Sud-Ouest » du 24 mai 2006     signé J.MD

Par décret du Pdt de la République en date du 23/12/2009 Christian GOY est radié des cadres de la magistrature à compter du 30/11/2009 après révocation sans suspension des droits à pension.